Bobby Seven

Ce matin la chronique de Charline Vanhoenacker sur France Inter parlait d'un des gros risques du Brexit pour les anglais, c'est d'être à cour de PQ suite à des problèmes d'approvisionnement dû aux retards douaniers. En Corse c'est un risque qu'on connait bien. On a déjà eu par le passé une grosse rupture de stock en été pendant une grève des ferrys. Il a fallu se débrouiller... Du coup pour ne pas être pris au dépourvu quand on était encore à Pelone la semaine dernière on a profité d'une promo au supermarché pour faire un bon stock surtout qu'avec la maison des restanques ça risque partir encore plus vite. Il faut dire qu'entre La roquette et Pelone on va arriver à un total de 13 WC ce qui veut dire forcément beaucoup beaucoup de rouleaux à prévoir.

Excellent diner chez Steve et François et pour finir la soirée Steve nous a appris à jouer au "Perudo" un jeu qui d'après Steve est mexicain mais Ramon (vrai mexicain) ne le connaissait pas. Pas grave Steve nous explique les règles succinctement. Comme il n'avait en fait que peu joué à ce jeu précédemment on a découvert les règles tous ensemble. Il s'agit d'un jeu de pari/bluff un peu comme au poker m'a dit Cindy. Et bien sûr avec  un jeu style "casino" c'est forcément ma Cindy de Reno qui gagne suivie de peu par Steve et François. De notre côté avec Ramon on a vite (très vite) été éliminés de la partie. On ne sait pas mentir !

Oui oui j'arrive Cindy... avec le retardateur pas toujours évident de courir assez vite

Dès potron-minet fabrication des choux pour les profiteroles du déjeuner dominical où nous allons rencontrer pour la première fois Manon (copine d'Alexandre). ca gonfle bien en four, c'est un peu retombé en sortie de four... Le plateau d'huitres en entrée est prêt Héléna, revenue de Suède est avec nous également. Manon et Alexandre Photo familiale prise par Julien qui malgré sa courte nuit a réussi à nous cadrer. Cocktail Cosmo dans le bol à punch Toch/Béa toujours super bien pour les cocktails. Ben oui il n'y  pas que sur les iles des caraïbes qu'on peut boire des cocktails en janvier (lien pour voir le blog Toch/béa à Roatan et leurs rencontre avec la faune sauvage et les cocktails locaux : http://beatoch.blogspot.com/) Après les huitres, choucroute de la mer. On a fait un repas très style "brasserie". On aurait bien mangé de la raie de Et en dessert : profiteroles maison

Ca fait toujours bizarre quand on croise un chasse neige à l'approche du Col Saint-George, qu'on lit un panneau lumineux "équipement neige obligatoire" et qu'on n'a pas pris de marge pour prendre l'avion.  Heureusement le col est franchissable et on passe sans problème. Arrivé à Paris on se transforme en lutins de Noël démolisseur. Vite il faut aller jeter le sapin en zone recyclage avant que cela ne soit fini.  Opération ficelage pour commencer. Et voilà sapin en zone tranformation

La lune au petit matin qui fait des reflets d'argent sur la mer. C'est trop beau.

En se promenant à la plage on a trouvé un nouvel ami, Gaspard la pieuvre. On lui a proposé de venir faire un tour à Pelone et après avoir visité le salon, il s'est installé en chambre Crique avant de rejoindre sans doute la chambre Mer dans quelques temps.

Ce matin en continuant mon travail sur le Carnet botanique de Pelone (132 plantes différentes répertoriées dans le jardin et j'en suis à 45 fiches faites... seulement), j'ai constaté en faisant la fiche du strelitzia (oiseau de paradis) qu'en France cette plante fleurit normalement en été. Et bien à Pelone on n'a pas eu de fleurs en été en revanche on a une belle fleur en janvier et une deuxième sur l'autre plant est entrain d'éclore. Et ce qui est bien c'est que ces fleurs durent longtemps. Ce sont d'ailleurs les fleurs qui tiennent le plus longtemps en fleurs coupées dans les bouquets. Peut-être est-ce dû au fait que les strelitzias de Pelone sont plantés dans le jardin dit "des chacals" (Vincent, Thierry, Jérôme)... ?

Le temps n'est pas vraiment estival, il y a un petit vent frais mais dès que le soleil arrive on en profite pour déjeuner en terrasse panoramique. Puis promenade à la plage vers Belvèdère  A l'abri d'un cactus géant qui pousse dans le sable en bord de plage Effet "queue de paon"

Dès qu'on commence à aménagé un nouveau coin de jardin je sais que ma mission va être de partir à la mine dans le maquis pour Cindy puisse construire sa nouvelle rocaille en contrebas de la piscine près du nouvel appentis. La brouette (eh oui je n'ai pas de wagonnet) pour rapporter les rochers de la mine. Un endroit que connaissent bien également Vincent, Thomas et Hugo notamment. Y a du choix mais c'est loin. Récupération de boutures de plantes grasses qui ont bien poussées derrière le jacuzzi pour être replantées dans la nouvelle plate bande. Ca commence à donner un bel effet. Il reste encore du géotextile et des graviers à mettre et ce sera parfait.

Après deux jours de froid intense, dès le réveil ce matin on constate que la température est bien remontée. On aperçoit aussi des grosses vagues dans le fond du golfe et on entend fort la houle jusqu'à Pelone. 9h00 départ pour la ville : rituel d'achat du dimanche :   L'Equipe et le Journal du Dimanche. L e soleil étant arrivé on se rend à la plage pour admirer ces magnifiques vagues. La mer est démontée. Un vrai spot de surf. Retour à la maison. Cindy n'ayant toujours pas retrouvée sa voix, on se dit qu'un petit "whisky sour" ça ne peut que lui faire du bien. Un peu de maladresse de ma part me fait renversé le verre tout juste rempli sur le plan de travail de la cuisine. Dommage, "faut pas gâcher " alors Cindy travaille le produit à la paille. Elle ne peut pas parler mais elle peut aspirer. Puis préparation en parallèle des casserolettes de fruits de mer aux poireaux Installation sur la terras